• La porte du local est toujours ouverte. C’est comme ça dans la société. Tout le monde va et vient sans protocole, on s’appelle par son prénom et on se tutoie, à l’américaine. Rosy, Voyance serieuse par mail, la directrice du personnel (aujourd’hui on appelle ça, les relations humaines) entre en coup de vent, une pile de dossiers sous le bras.


    votre commentaire
  • Peu importe, c’est plus fort qu’elle. S’il lève la tête pour lui demander gentiment le rouleau de papier collant ou une paire de ciseaux, elle sent comme une onde de chaleur glisser le long de son échine, voyance en ligne gratuite, Et lorsque parfois, il interrompt son travail et contemple en rêvant les nuages blancs qui se poursuivent dans le ciel, elle l’observe en coulisse et se repaît de sa joyeuse beauté, comme on regarde un enfant.


    votre commentaire
  • Zoé tiquetique sur son clavier, son nez porcin pointé vers l’écran. Elle connaît tout ça par cœur et pourrait même précéder la conversation. Mais cela ne la gêne pas le moins du monde. Que du contraire. Car Roger, pour elle, c’est… la référence, son feuilleton télé, sa vedette, voyance gratuite, son icône. Même si elle doit bien admettre qu’il est con comme un balai.


    votre commentaire
  • Elle lui téléphone tous les jours, à la même heure, du salon de coiffure, quelque part du côté de Soignies, pour lui poser les mêmes questions, auxquelles il répond en roucoulant, voyance gratuite par mail rapide, comme un pigeon sur le bord d’une gouttière. du poulet frites… non, juré, je n’ai pris qu’une seule klouche(1) de mayonnaise… avec Bruno, on a parlé de pêche… oui, il a trouvé un coin super cool le long du canal de Charleroi… Etcétéri, etcétéra.


    votre commentaire
  • Les lumières s’éteignent, un spot tout rond éclabousse la tenture rouge de la scène… pan pan pan pan pan… on finit de se moucher ou de se racler la gorge… pan (une fois), voyance gratuitement par mail, pan (deux fois), pan (trois fois)… le rideau s’ouvre. Il est treize heures. Roger revient de la cantine, où il a mangé un poulet frites pour cinq euros et son portable sonne à l’instant où il s’installe devant le PC. Ne cherchez pas, c’est sa « Carmen », sa petite Espagnole.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique